Les plumes littéraires

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Un soir où j’étais seul chez moi, j’entendis des bruits inquiétants. Je me levai de mon lit et je décidai d’allumer la lumière de ma chambre mais elle ne fonctionnait plus. Et, soudain, j’entendis un bruit terrifiant, craintif comme un rire de petite fille, une fille démoniaque, épouvantable. Je me dirigeai vers ma porte pour regarder de l’autre côté via la serrure mais je ne vis rien : le noir totale, le néant ! Il y avait une atmosphère angoissante qui régnait dans la chambre. Soudain ! Un visage, une œil surgit de l’autre côté de la serrure. Il y avait une présence,  j’en étais sûr, sûr et certain. Ce n’était pas un œil commun, il était bizarre, terrifiant, gris transparent comme si la personne était aveugle. J’étais horrifié, je ne savais pas quoi faire. Je pris donc mon couteau qui était tout le temps dans ma sacoche, je m’approchai de la porte, j’abaissai lentement la poignée, j’entrouvris discrètement la porte mais il n’y avait rien, encore une fois ! Rien à part un noir total et angoissant. J’entendis encore cette fille démoniaque à l’étage du dessous. Je voulus descendre mais j’avais peur j’étais paniqué à l’idée d’avoir une personne chez moi, une personne irréelle, un monstre. Je commençai à descendre les escaliers mais d’un coup les marches craquèrent. J’étais potentiellement repéré. J’avais peur, j’essayais d’entendre quelque chose mais il n’y avait aucun bruit. C’était silencieux, pas un bruit, rien. Je me sentis observé… il était là, oui là… juste devant moi ou plutôt ils étaient…ils était plus d’une dizaine ! Une dizaine de je ne sais quoi mais je les sentais. Je sentais leur regard et leur présence juste devant moi. Je ne savais pas quoi faire. Et là, plus rien ! Encore une fois, le néant. Rien de rien, pas de bruit, pas d’odeur, pas de couleur, pas de… Soudain, je me réveillai ! Ce n’était qu’un rêve, un simple rêve. Tout allait bien mais mon cœur battait vite. J’étais sous le choc. Je décidai donc d’allumer la lumière mais rien. Il faisait noir, il n’y avait rien quoiqu’il y ait une chose. Oui, je sentais une présence. Oui, ce n’était que le début d’un cauchemar sans fin.